Les Parisiennes
C’est dans les années 60 que né le groupe Les Parisiennes, sur une idée de Claude Bolling, qui a décidé de faire chanter 4 danseuses sur des musiques typique des Yéyé. Les Parisiennes se nomment Raymonde Bronstein, Anne Lefebure, Hélène Longuet et Anne-Marie Royer, et chantent ensemble avec un orchestre. Les titres des Parisiennes sont pour la plupart écrites par Franck Gerald et composés par Claude Bolling avec notamment leur plus grand succès, en 1964, « Il fait trop beau pour travailler ». Les filles enchaineront les titres comme « Fans de Mozart », « L'argent ne fait pas le bonheur », « Il va falloir se mettre au régime » (1965), « Les zozos » (1965), « Le 30 février » (1966), ou encore « La de Dion-Bouton » (1966). En 1967, Les Parisiennes décident d’adapter le titre « Puppet on a string » qui a permis à Sandie Shaw de connaitre la victoire à l'Eurovision, pour un titre rebaptisé « Un tout petit pantin ». Reflétant une certaine idée de la Parisienne un peu futile. Leur tour de chant mis en scène par Roland Petit est d'un professionnalisme rarement égalé. Elles s'imposent avec la chanson Il fait trop beau pour travailler mais se font également remarqué avec un titre de chanson des plus longs: C'est tout de même malheureux qu'on ne puisse pas se promener tranquillement dans les rues après neuf heures du soir, tout un programme. Les années 70 seront fatales pour le groupe qui décidé de se séparer, mais certaines connaitront un succès en solo comme Raymonde Bronstein qui fera une carrière solo, ou bien encore Anne Lefebure qui deviendra speakerine. Jusqu'en 2005, on entend le générique du Pop-Club sur France Inter. La chanson « Le temps du Lumbago » est reprise dans le film « La Mandarine » (1972)
Le temps des succès
Les Parisiennes est le nom d'un groupe de musique des années 1960 réuni sur une idée de Claude Bolling. Quatre danseuses - Raymonde Bronstein, Anne Lefébure, Hélène Longuet et Anne-Marie Royer - chantent à l'unisson, accompagnées par un orchestre. La mise en scène, lorsqu'elles se produisent, est de Roland Petit. Les chansons interprétées étaient pour la plupart écrites par Franck Gérald (paroles) et Claude Bolling (musique). Parmi celles-ci : 1964 Il fait trop beau pour travailler (tube incontesté) ; 1965 Fans de Mozart (de Françoise Dorin) ; 1966 L'argent ne fait pas le bonheur ; 1966 Le tunnel sous la Manche.
• Quatre reines du yéyé : La France des années 1960 a eu son girl group, Les Parisiennes. Quatre filles coachées par le pianiste et chef d'orchestre Claude Bolling, qui a façonné des arrangements jazz et pop pour enrober les chansons des demoiselles. Ces dernières chargées de faire pétiller des textes (Frank Gérald pour l'essentiel, Pierre Perret, Ricet-Barrier, Pierre Delanoë...) évocateurs d'un quotidien sans problème sociaux ou existentiels : Il fait trop beau pour travailler, On n'a vraiment plus rien à se mettre, L'argent ne fait pas le bonheur, Nous on est si mignonnes, On fait peur aux garçons... Soit une soixantaine d'enregistrements chez Philips regroupés ici. Dommage qu'à cette édition manquent des reproductions des pochettes des 45-tours (les plus psychédéliques) et aussi un livret détaillé (noms des musiciens, dates des séances...).
• Une palanquée de succès : Grâce à un répertoire entraînant, une mise en scène talentueuse et de nombreux passages en télé et sur scène, elles connaissent un très grand succès dans les années 60 Les reprises de « Un tout petit pantin » (67), « Bonnie and Clyde » (68) et « Boom-bang-a-bang » (69). Le titre le plus long de la chanson française : « C'est tout de même malheureux qu'on ne puisse pas se promener tranquillement dans les rues après neuf heures du soir ». (64). Des B.O. de films: « Les hommes de 40 ans » (65) ou « Thème de Borsalino » et le générique du Pop-Club sur France Inter. Ainsi que quelques albums comme « Il fait trop beau pour travailler » (65), « Les Parisiennes et Claude Bolling » (67) ou « Dans la vie faut pas s'en faire » (69), reprises de chansons françaises des années 30. Grâce à un répertoire entraînant, une mise en scène talentueuse et de nombreux passages en télé et sur scène, elles connaissent un très grand succès dans les années 60. Elles ont également connu d'autres succès avec notamment « Il va falloir se mettre au régime » (65), « Les zozos » (65), « Le 30 février » (66), ou encore « La de Dion-Bouton » (66). En 1967, elles enregistrent Un tout petit pantin, la version française du hit Puppet on a string qui avait fait la gloire de Sandy Shaw à l'Eurovision. Elles se sont séparées au cours des années 70, bien qu'on ait pu, jusqu'en 2005, les entendre interpréter le générique du Pop-Club sur France Inter. Raymonde Bronstein fera une carrière solo sous le nom de Raymonde Beretta. Anne Lefébure sera speakerine et présentatrice à la télévision sur FR3, sans voir son visage.
Le temps des fissures
Les Parisiennes est un groupe vocal féminin créé en 1964 sur une idée de Claude Bolling, pianiste de jazz, chef d'orchestre et compositeur de la plupart de leurs chansons. Il est formé de quatre chanteuses- danseuses: Raymonde Bronstein (de Lyon), Hélène Longuet (de Mantes-la-Jolie), Anne-Marie Royer (de Paris) et Anne Lefébure (de Nice). Grâce à un répertoire entraînant, une mise en scène talentueuse et de nombreux passages en télé et sur scène, elles connaissent un très grand succès dans les années 60. En 7 ans de carrière, elles sortent plus d'une vingtaine de EP ou SP avec entre autres : « Il fait trop beau pour travailler » (64), « Il va falloir se mettre au régime » (65), « Les fans de Mozart » (paroles de F.Dorin) (65), « L'argent ne fait pas le bonheur »(66), « La de Dion Bouton » (66). Raymonde Bronstein fera une carrière solo sous le nom de Raymonde Beretta.
• Le temps des reprises : Les reprises de « Un tout petit pantin » (67), « Bonnie and Clyde » (68) et « Boom-bang-a-bang » (69). Le titre le plus long de la chanson française : « C'est tout de même malheureux qu'on ne puisse pas se promener tranquillement dans les rues après neuf heures du soir ». (64). Des B.O. de films: « Les hommes de 40 ans » (65) ou « Thème de Borsalino » et le générique du Pop-Club sur France Inter. En 71, Raymonde Bronstein, mariée depuis 68 au chanteur Daniel Beretta, quitte le groupe pour entamer une carrière solo sous le nom de Raymonde Beretta et sortir quelques SP chez Pathé. Elle sera remplacée par Viviane Chiffre mais le groupe ne survivra pas longtemps à ce départ. On retrouvera Anne Lefébure comme présentatrice sur FR3, dans les jeux de 20 heures et comme comédienne dans quelques séries télévisées. Anne-Marie Royer produira des spectacles à Nice où elle vit et Hélène Longuet quittera le monde du spectacle pour se consacrer à sa famille.
• Anne Lefébure : Dans les années 1970, elle devient une des voix de FIP, puis speakerine sur la troisième chaîne de télévision. Comme la troisième chaîne avait une politique de modernité, elle parlait en voix off pour présenter les programmes, sur un menu télétexte défilant. Elle n'apparaissait à l'antenne que pour les fêtes de fin d'année. À l'instar de Sylvie Caspar vingt ans plus tard, sa voix très caractéristique la rend rapidement célèbre. Elle est également présentatrice d'émissions de télévision, et elle est surtout une invitée régulière de jeux télévisés comme L'Académie des neuf et Les Jeux de 20 heures. Elle présente et anime Kamikaze Impro en 1985 avec Éric Métayer et Jean-Daniel Laval. Catherine est un feuilleton télévisé français en trente épisodes de 50 minutes, réalisé par Marion Sarraut d'après l'œuvre de Juliette Benzoni, Catherine, et diffusé à partir du sur Antenne 2. FIP (à sa naissance pour France Inter Paris, mais désormais sans rapport direct avec France Inter) est un réseau radiophonique français créé en 1971 à l'initiative du directeur de radio Roland Dhordain. France Régions 3, dont le sigle utilisé est FR3.