Groupes Instrumentaux
Le phénomène des groupes a été très important au début des années 60 et ils ont été nombreux à tenter leur chance, d'autant que les maisons de disques recherchaient activement de nouvelles vedettes. Ainsi il suffisait parfois d'avoir 17 ans et de savoir faire trois accords à la guitare pour être signé par Vogue, Barclay, ou Philips. Cependant le service militaire qui était pendant les évènements d'Algérie, de 24 mois voire davantage, a décimé tous ces groupes éphémères. Si tout le monde connaît les ténors en la matière, Fantômes, Aiglons, Players, Fingers, d'autres groupes moins connus n'en ont pas moins animé la scène musicale de ces années « yéyé ». Pour certains, ils n'ont fait qu'un unique 45 tour, puis ont disparu dans la vague sans cesse renouvelée des nouveaux candidats au succès. Le phénomène des groupes a été très important au début des années 60 et ils ont été nombreux à tenter leur chance, d'autant que les maisons de disques recherchaient activement de nouvelles vedettes. Ainsi il suffisait parfois d'avoir 17 ans et de savoir-faire trois accords à la guitare pour être signé par Vogue, Barclay, ou Philips. Cependant le service militaire qui était pendant les évènements d'Algérie, de 24 mois voire davantage, a décimé tous ces groupes éphémères. Si tout le monde connaît les ténors en la matière, Fantômes, Champions, Players, Fingers, d'autres groupes moins connus n'en ont pas moins animé la scène musicale de ces années « yéyé ». Pour certains, ils n'ont fait qu'un unique 45 tour, puis ont disparu dans la vague sans cesse renouvelée des nouveaux candidats au succès. Cette galerie n'a pas pour objet de donner une discographie complète de chaque groupe, mais simplement de les « lister »dans l'ordre alphabétique pour les "rappeler" à notre mémoire, et c'est le moment de tester vos connaissances...! Je renvoie sur les sites spécialisés et que j'en ai connaissance. Certains des groupes étaient plus spécifiquement « vocals ». Des milliers de ces groupes naquirent ainsi, portés par la musique instrumentale des Shadows, Spotnicks ou Ventures, etc...
Un phénomène de mode
Le phénomène des groupes a été très important au début des années 60 et ils ont été nombreux à tenter leur chance, d'autant que les maisons de disques recherchaient activement de nouvelles vedettes. Ainsi il suffisait parfois d'avoir 17 ans et de savoir-faire trois accords à la guitare pour être signé par Vogue, Barclay, ou Philips. Cependant le service militaire qui était pendant les évènements d'Algérie, de 24 mois voire davantage, a décimé tous ces groupes éphémères. Si tout le monde connaît les ténors en la matière, Fantômes, Champions, Players, Fingers, d'autres groupes moins connus n'en ont pas moins animé la scène musicale de ces années « yéyé ». Pour certains, ils n'ont fait qu'un unique 45 tour, puis ont disparu dans la vague sans cesse renouvelée des nouveaux candidats au succès. Cette galerie n'a pas pour objet de donner une discographie complète de chaque groupe, mais simplement de les « lister » dans l'ordre alphabétique pour les « rappeler » à notre mémoire, et c'est le moment de tester vos connaissances...! Je renvoie sur les sites spécialisés lorsqu'ils existent et que j'en ai connaissance. Certains de ces groupes étaient plus spécifiquement « vocals », mais dès lors qu'ils ont enregistré également en instrumental, je les ai inclus dans cette page. Cette liste n'est évidemment pas exhaustive, et je suis conscient qu'il en manque encore un certain nombre, alors j'accueillerai avec joie toutes les infos et photos sur les "oubliés" involontaires. Il n'en reste pas moins que cette compilation, que j'ai mis des mois à réaliser, a le mérite d'être l'une rare à rassembler, en un même endroit, autant de renseignements. Ces enregistrements vinyles « super 45 tours », 4 titres par disque ce qui est une spécificité Française, sont devenus très recherchés et ne peuvent se trouver que sur le marché de l'occasion, notamment dans les conventions de disques de collection comme le Compact Disk, sur E.bay, ou enfin, si vous aimez « chiner », avec de la patience on peut également en trouver dans les vides-greniers et brocantes où il est possible, avec de la chance de faire de très bonnes affaires.
Séquence nostalgie
Alors nous avons souvent constitué notre premier groupe avec un copain d'école ou un voisin de palier ou de quartier. Le problème principal qui se posait était de se procurer l'une de ces guitares vue sur les pochettes de disques. L'argent de poche était souvent rare à cette époque, alors on commençait souvent avec une simple guitare sèche, ou on en bricolait une avec des moyens de fortune. Les plus chanceux qui pouvaient s'acheter une véritable guitare évidemment pas trop chère « d'entrée ou de bas de gamme » comme on dit aujourd'hui, optaient pour Egmond, Fasan, Hofner, Klira ou Eko. Et ces instruments pourtant pas très performants faisaient la fierté, car les marques américaines étaient inabordables ! Une fois avoir appris les rudiments de la guitare, il fallait penser à l'amplificateur car, contrairement à ce que certains pensaient, les guitares électriques ne se branchaient pas sur une prise de courant ! L'ampli était généralement plus cher, et alors là encore c'était le système D. On trouvait souvent qu'un matériel de fortune souvent bricolé avec l'aide des parents. Les premiers amplis étaient souvent issus de kits Recta, Cibot, Merlaud, dont on voyait la pub sur « Radio Plans » ou « le Haut-Parleur ». Ils étaient accompagnés de baffles « faits maison », souvent de grande taille car les seuls étaient ceux de type « Bass réflex ».


C’était au temps où, au lycée, les garçons devaient avoir les cheveux rasés derrière les oreilles et les filles étaient interdites de pantalon. Au temps de l'apparition des premiers transistors et tourne-disques portables. A l'époque où une émission de radio va enflammer et rassembler une jeunesse qui n'avait jusque-là pas son mot à dire. Lancée le 19 octobre 1959 sur les ondes d'Europe n° 1 par Frank Ténot et Daniel Filipacchi, tous deux fous de jazz, « Salut les copains » (SLC), devient vite l'émission-phare des baby-boomers. Le rendez-vous quotidien, entre 17 et 18 heures, des collégiens et des lycéens. Durant cette tranche horaire, animée par Daniel Filipacchi, défilent ceux que l'on nomme alors les « rockeurs » : Elvis Presley, déjà star aux Etats-Unis, et de jeunes inconnus tels Dick Rivers et son groupe Les Chats sauvages, Eddy Mitchell et ses Chaussettes noires, ou encore le presque ado Johnny Hallyday ; tous pionniers du rock'n'roll en France. Une époque, les années 1960-1970, que nous fait revivre ce charmant document diffusé en quatre épisodes,
où, quinze ans après la fin de la Seconde Guerre mondiale, l'adolescence était considérée comme une rapide transition entre enfance et âge adulte. C'est justement parce que les ados se sentaient dédaignés que leur ferveur en une culture qui leur est uniquement réservée va décupler. Flairant la bonne affaire, les maisons de disques lancent de nouvelles voix à tour de bras : apparaissent Richard Anthony, Sylvie Vartan, Françoise Hardy, Petula Clark, puis Sheila, Frank Alamo, Hervé Vilard, France Gall, Claude François, Hugues Aufray Christophe. Sans oublier d'éphémères célébrités tels les groupes Les Surfs, Les Gam's ou Les Parisiennes. Mais les copains adorent aussi Claude Nougaro et Leny Escudero, des chanteurs à texte qu'ils placent, dans leur panthéon musical, aux côtés des vieux de la vieille, Jacques Brel et Georges Brassens. Les années yéyé ne font pas uniquement référence aux chansons d’amour. Quelques années plus tard, c’est La Californie de Julien Clerc.
